La biographie de Marco Bartoli

Marco Bartoli

Leader de la Fiamma Nera

Cette page dévoile des informations importantes sur Bartoli. Si vous n'avez pas joué à TR2, vous allez être spoilé. Cette biographie a été rédigée à partir des informations officielles (jeux, livrets et style guide) et complétée avec les fiches françaises des éditions Atlas.

La fiche détaillée

CARTE D'IDENTITÉ - TOMB RAIDER & CIE
CARTE D'IDENTITÉ N° : 069273062717
Nationalité Italienne
  • Prénom : Marco
  • Nom : BARTOLI
  • Sexe : M
  • Né(e) le : 9 décembre 1951, sans doute Venise
  • Taille : 1.77m
  • Poids : -
  • Cheveux : Bruns
  • Yeux : -
  • Signes particuliers :
    Porte en permanence des lunettes noires.

À propos de Marco Bartoli

Bartoli apparaît seulement dans Tomb Raider II.

Tomb Raider II

Marco Bartoli est le fils de Gianni Bartoli, chef de la secte de la Fiamma Nera (la Flamme Noire) qui recherche un artefact antique magique, la Dague de Xian. Il a 5 ans lorsque son père meurt dans le naufrage du Maria Doria, et est alors initié très tôt aux rites de la secte. Des lors, il est parfaitement fanatisé à la cause lorsqu’il hérite du commandement de la secte.

Persuadé que la mort de son père a tracé le chemin que lui, l’Elu, devait suivre, il se met en quête de retrouver le Séraphe, disparu avec son père. Ayant repris l’œuvre de son père, il a appris que cet objet permet d’entrer dans les catacombes d’un monastère tibétain au fond duquel se trouve le Talion, la clé qui ouvre le sanctuaire de la Dague.

Il dirige la secte comme un gourou absolu, disposant d’une petite armée personnelle prête à se sacrifier pour lui en combattants la moindre menace. Les membres ont même l’ordre de se suicider plutôt que de risquer de compromettre la moindre information. Marco lui-même est un homme qui peut se montrer particulièrement cruel, n’hésitant pas à molester son plus proche lieutenant lorsque celui-ci se permet de mettre en doute ses décisions. S’il ne prend pas spécialement plaisir à faire le mal, il semble dénué de toute empathie et du moindre scrupule : il tue de sang-froid quiconque l’empêche d’atteindre son but.

Pour financer ses recherches, la Fiamma Nera se comporte comme une mafia italienne traditionnelle, ce qui lui permet de rendre ses activités occultes totalement secrètes. Il dirige ainsi ses affaires depuis son palais vénitien de la Via Carnavale et se sert même des ruines voisines de la Fenice, un théâtre désaffecté depuis un incendie, comme de son entrepôt personnel. Vêtu d’un éternel costume 3 pièces noir, et de lunettes noires, c’est un homme discret. Seule déroge son écharpe arborant le logo rouge de la Fiamma Nera (la serrure du temple de Xian traversée par une ligne figurant un dragon) un symbole inconnu pour les profanes.

Ses recherches lui ont ainsi permis de localiser l’entrée du temple de Xian sous la Grande Muraille, et il y place un de ses fidèles pour en assurer la protection. Il a également réussi à découvrir l’emplacement de l’épave du Maria Doria, là où tant de chercheurs de trésors ont échoué. Pour réussir à explorer l’épave qui gît par 40 brasses de fond (73 mètres), il a construit une plateforme pétrolière afin de vider la cavité sous-marine où une partie de l’épave s’est encastrée. Il y a dépêché des dizaines d’hommes afin d’explorer l’épave à la recherche du Séraphe, jusqu’ici sans succès.

Lorsque Lara vient enquêter sur lui en 1997, il la fait prisonnière après qu’elle se soit introduite à bord de son hydravion l’amenant justement sur la plateforme de l’Adriatique. On ne sait pas s’il l’a reconnue (après tout, Lara est une chasseuse de reliques tout comme lui, juste plus célèbre !) mais il se contente de l’enfermer dans un entrepôt de la plateforme.

Durant le vol, Fabio, le lieutenant de Marco avait mis en doute le fait que le Séraphe soit à bord de l’épave, il affirmait d’ailleurs à Marco que « la marée a pu tout emporter et que l’examen de sa tombe (le père de Marco est mort à bord) n’a rien révélé de substantiel ». Il pensait que Marco faisait fausse route en cherchant à cet endroit, mais Marco, quant à lui, savait très bien que son père avait avec lui le Séraphe au moment de sa mort. Il a d’ailleurs amené un autre prisonnier sur la plateforme : un moine du monastère de Barkhang qu’il fait torturer afin de savoir comment procéder avec le Séraphe. C’est Lara qui le délivrera, mais Marco l’assassinera lui-même avant de tenter de s’en prendre à Lara.

Au grand dam de Marco, c’est Lara qui découvre le Séraphe à bord de l’épave, et qui lui file sous le nez en volant l’hydravion de la base. Marco part alors à sa poursuite, sachant très bien où elle se rend : au monastère de Barkhang. Il charge ses hommes d’attaquer le monastère tandis que lui se dirige vers le temple de Xian. Lara échappe aux fidèles de Bartoli et quitte Barkhang en possession du Talion, la clé ouvrant le temple de Xian, mais elle tombe dans l’un des pièges protégeant la dague. Bartoli, arrive après elle, mais parvient à s’emparer de la relique et fait préparer le rite.

Il rassemble ses fidèles dans la chambre cérémonielle du temple et monte sur le piédestal où se trouvait la dague alors que ses hommes récitent une dernière prière. Avec la plus grande confiance, persuadé du bon sens de son geste, il se plante la dague en plein cœur et s’écroule, rattrapé par ses fidèles qui l’emportent dans un sanctuaire hors du temps : les Îles du Ciel. Son corps inerte est déposé au centre d’un palais de jade où il gît, attendant que la magie opère. Le groupe de fanatiques d’élite censé le protéger ne fait pas long feu face à Lara qui arrive pile au moment où Bartoli se transforme enfin en immense dragon.

A-t-il eu conscience de sa transformation ? Nul ne le saura jamais car il terrassé par Lara qui s’empresse de récupérer la Dague sur la carcasse du dragon. Son corps ne réapparaissant pas, Marco Bartoli est donc bel et bien mort, mais pas la Fiamma Nera. Les derniers fidèles de Bartoli tentent un baroud d’honneur en attaquant, de nuit, le manoir des Croft, espérant sans doute venger leur gourou et récupérer la Dague. Ils seront évidemment éliminés sans aucune pitié, emmenant avec eux les derniers secrets de Bartoli.